Salon du Livre de Paris

J'en avais parlé il y a quelques articles : lundi dernier, le Master Edition a eu droit à une excursion au Salon du Livre de Paris. Après avoir visité Francfort et Colmar il y a quelques mois (+ d'autres salons plus petits aussi), je ne savais pas trop à quoi m'attendre : on me parlait de conférences pointues, d'halls immenses, de rencontres fantastiques, de tonnes et de tonnes de livres. Alors oui, certes, pour y en avoir il y en avait des livres. En revanche, les quelques conférences auxquelles j'ai pu assister étaient plutôt superficielles, on entrait pas dans le vif du sujet, le débat n'était pas lancé correctement, et les rencontres, ben, comment dire ? Ayant fait la visite le lundi (lors de la matinée réservée aux professionnels), la seule personne connue que nous ayons croisée était la Ministre de la Culture Aurélie Filippetti. Mais bon, si nous étions sur ce salon ce n'était pas pour voir Lévy ou Musso bien évidemment, mais pour approcher des professionnels de l'édition et des média. Nous nous sommes aussi rendus sur le stand de la Frankfurter Buchmesse (foire du livre de Francfort), où on a commencé à organiser notre visite en..octobre prochain. Le temps de voir venir quoi. Ensuite on est partis chacun de son côté, et j'ai eu à faire face à quelques déceptions : les personnes animant les stands de ARTE, Courrier International, Le Monde et compagnie n'étaient en fait que des commerciaux, chargés d'inciter les visiteurs à souscrire à des abonnements. Bon, soit. Sinon, j'ai aussi voulu approcher quelques exposants américains et canadiens pour mon stage de six mois de l'année prochaine, et là encore, VLAM, les Américains me remballent carrément, et les Québécois étaient bien gentils, mais n'ont pas pu me renseigner ou m'aider des masses, donc j'ai un peu ramé on va dire. 

A partir de 13 heures, le salon a été rouvert au public, et on a été assaillis par les groupes scolaires, venus dépenser leurs "chèques livres" (ou plutôt, chercher le livre le moins cher histoire de récupérer la monnaie sur leur chèque de 12€, j'ai envie de dire BON INVESTISSEMENT L'ETAT !). Donc bon, on a terminé notre visite, puis c'est à ce moment là qu'on a décidé de retourner en ville, respirer l'air frais de Paris (& c'est pas si ironique que ça après tout, tellement on étouffait dans tout le brouahaha du salon..).

Sinon au niveau des présentations et autres activités remarquables, on notera les petits-déjeuners / snacks mis à disposition toute la matinée (on est grosse ou on l'est pas) : croissants, fruits frais, café, thé, jus de fruits, mais aussi les expositions pour les 20 ans de Titeuf et les 75 ans de Spirou, quelques stands particulièrement bien fournis et décorés, mais aussi et surtout.. CES deux murs là, décorés entièrement aux couleurs de La Cité des Ténèbres. J'ai cru que j'hallucinais quand j'ai vu tout ça : couvertures des livres, affiche du film et tout c'qu'il faut. Magnifique, même si ça fait peur (n'oubliez pas que Jace est à moiiiii). 

 

  J'essaye désespérément de charger d'autres photos, mais apparemment Blogspot (ou mon ordi..?) refuse d'obtempérer ce soir. Je repasserai !

Jappeloup

Certaines rencontres créent la légende

Rien qu'en lisant cette phrase, je pensais déjà à ma propre histoire, à mon Fils, et rien qu'en lisant cette seule phrase sur l'affiche je savais que j'aimerais ce film. Je l'attendais avec impatience d'ailleurs, et maintenant je me prends quelques minutes pour vous dire POURQUOI est-ce qu'il faut aller voir ce film. Déjà, il est incontournable pour tous les cavaliers, ou tous les gens qui ont un jour ou l'autre côtoyé les concours hippiques, mais même les gens qui ne se sentent pas concernés par cette histoire au premier abord sauront l'apprécier. Parce que l'histoire est touchante, les personnages attachants, les scènes magnifiquement filmées, et qu'on sent la magie même quand on ne sait pas ce que représente réellement la relation entre un cheval et son cavalier. On se retrouve à travers l'un ou l'autre des personnages : le cavalier à la grosse tête, la groom émotive, la femme dévouée, la mère inquiète, le père ambitieux... On rit, on a peur, on pleure un peu, et on a le coeur qui bat.
Alors c'est sûr que si vous associez le mot "cheval" à Findus, ce n'est pas la peine de dépenser 10€ pour aller voir ce film. En revanche, je répète que bien que ce film soit plutôt technique (j'ai été agréablement surprise à ce niveau là d'ailleurs), il ne faut pas forcément être cavalier pour plonger dans l'histoire. Laissez vous entraîner, laissez votre coeur battre au rythme des foulées de ce petit cheval noir. En tout cas c'est un film excellent, qui vaut vraiment le détour.. et qui saura donner envie aux passionnés de se (re)mettre aux concours !

LUNDI C'EST PARIS.

 Hier, lundi 25 mars, on a eu droit à une sortie universitaire dans la capitale. Journée universitaire oui, parce que (à titre de rappel) je suis en Master des Métiers de l'Edition, et ce week-end a été marqué par LE Salon français de l'année, le Salon du Livre de Paris. Donc lundi matin, réveil 4h50 (dur dur quand on sait que la veille à la même heure, j'étais à peine rentrée de boîte), puis TGV direction Paris Est, traversée de Paris en métro, & - enfin - arrivée Porte de Versailles, Salon du Livre bonjour. La matinée est passée assez rapidement, d'une conférence à l'autre, d'un stand à l'autre, discussions avec des éditeurs, des libraires, des Français, des Américains, des Allemands, et on avait assez vite fait le tour du salon (je vais pas m'éterniser, j'en reparlerai sans doute dans un autre article). A 16 heures, un peu fatiguée, étouffée par l'espèce de chaleur humaine qui se dégageait des groupes d'élèves de primaire et collège, j'ai filé retrouver la chaleur humaine du métro jusqu'au Trocadéro, où j'ai retrouvé Fred, avant qu'on se lance dans une expédition Trocadéro - Arc de Triomphe - Champs-Elysées - Place de la Concorde - Jardin des Tuileries - Louvre, le tout à pieds of course (sportives comme nous sommes). Passages obligés chez Ladurée pour faire le plein de macarons & au Disney Store, pour.. faire le plein de peluches ?! Puis retour à Strasbourg après 22h, fatigués, courbaturés, mais dans une ambiance assez déjantée (c'est pas comme si on avait fait rire et/ou fuir tous les passagers de la rame mais.. presque).      

 Avec Noémie & Magaly, collègues du Master !

“If she's amazing, she won't be easy. If she's easy, she won't be amazing. If she's worth it, you wont give up. If you give up, you're not worthy.. Truth is, everybody is going to hurt you; you just gotta find the ones worth suffering for.”

― Bob Marley,

Friendship.

Après une petite journée de cours (bon, qui n'a duré qu'une heure & demie mais faut pas le dire) & une après-midi passée à la maison à balayer/faire un peu de sport/prendre soin de mes cheveux & de mes mains meurtries par le travail & le froid, c'était soirée avec les filles ! Au programme : resto, promenade digestive, café à la maison. Bon, c'était bien sympa mais j'suis un peu pleine comme une baleine (ça rime), donc je pense que demain ma journée ce sera soupe de légumes + sport.. Faudra que je fasse un tour en ville chercher quelques trucs pour un projet de cours, donc je sens que je risque de me laisser tenter par une mini-virée shopping, j'vais veiller à ne pas faire trop de folies haha (je pourrais éventuellement oublier ma carte bleue à la maison par exemple.. c'est une idée comme une autre). 

Mais ça fait vraiment du bien de revoir les filles, de discuter de problèmes DE FILLES, de voir qu'après toutes ces années (depuis la maternelle, donc..environ 17-18 ans?), elles sont toujours là. Pendant une soirée, j'ai pu rigoler sans me forcer, discuter librement sans surveiller ma prose (ouais parce qu'en attendant le reste de la semaine je fréquente des littéraires, donc quand je sors en dehors des cours je c plu parlé franC correct wesh). Bref bref, j'ai déjà hâte de remettre ça. 

See you! 

 Mon café gourmand, avec crème brûlée, mousse au chocolat sur crème anglaise, salade de fruits, profiterole,... Miam!

My songs know what you did in the dark.

On peut parler musique un peu ? J'trouve que ça bouge un peu ces derniers temps (ouf, on commençait presque à s'ennuyer), & je me remets à écouter la radio plutôt que mes CD. Au niveau des coups de coeur du moment, j'avoue que je suis fan du dernier Fall Out Boy, celui que vous trouvez en lien au dessus. Puis faut avouer qu'on entend plus énormément de sons pop-rock récents en ce moment, la preuve c'est que ma propre playlist actuelle regorge de sons dance/R'n'B.. donc ça fait du bien de retourner à ses premières amours un peu. Puis j'aime bien Let Her Go de Passenger aussi, un peu balade romantique à faire pleurer les minettes (donc moi oui). 

J'adore Kavinsky aussi, j'trouve que Road Game est même meilleure que Nightcall pour tout vous dire (y a plus la voix d'outre-tombe qui fout les jetons haha). Ah et niveau electro & cie, la bombe que j'ai en tête un jour sur deux depuis un bon bout de temps c'est Cannonball de Showtek. En fait j'ai découvert ce titre en boîte bieeeen avant qu'il ne passe à la radio, c'est "le son du Kristal" quoi. Le son qui peut vous rester en tête trois jours alors qu'il n'y a qu'une phrase sur 3 minutes, cooool.

Pas grand chose de passionnant à raconter à part ça. J'ai passé ma semaine de vacances à bosser à mon centre équestre, pour encadrer les stages.. plutôt cool comme job haha. Samedi dernier, c'était la soirée country des Los Amigos, où Sophie & moi on s'est éclatées à.. laver des verres ;-). Non mais sans blague, c'était cool, on s'est rendues utiles tout en passant une chouette soirée et en revoyant certaines têtes connues.. enfin, qui étaient connues jadis tout du moins ! Puis mon père est reparti au Vietnam vendredi dernier, sans moi cette fois (n'oubliez pas qu'à la base, j'avais créé ce blog pour parler de mon voyage humanitaire de l'année dernière hein).

Aujourd'hui ma grand-mère avait fait des beignets pour midi (un peu en retard sur Mardi Gras certes), donc le régime est encoooore reporté. Quel malheur..