vendredi 29 novembre 2013

X-Mas Wishlist.

La magie de Noël a -déjà- eu raison de moi. 

J'ai déjà envie de commencer mon shopping de Noël, et comme tous les ans je vois trop grand, j'ai envie d'offrir des cadeaux à tout l'monde. Malheureusement, mon compte en banque ne suffit pas. Sérieux, faudrait vraiment que je trouve un moment d'être riche, parce que dans ce cas là je serai pas la seule à en profiter, vous seriez tellement gâtés (et gavés, parce que j'aime trop inviter les gens au resto haha) que vous aimeriez trop que j'sois riche. MAIS il faut encore attendre un peu, alors cette année ce sera sûrement cadeaux handmade, comme assez souvent. Mon âme de bricoleuse qui s'exprime !

Puis en parallèle, j'ai moi aussi dressé ma petite liste, même si je sais que je ne devrais pas, même si je sais que plus personne n'en tient compte, mais vous avez sûrement pu remarquer au cours de mes 300 articles (oui oui, ce soir c'est le 300ème!) que J'ADORE LES LISTES. Passe-temps favori n°1 : faire des listes. Liste de courses, liste de choses à faire dans ma journée, playlist, liste de films et séries préférés, liste de calories, liste de gâteaux à faire, liste de restaurants où je veux aller, liste de personnes à inviter pour telle ou telle fête, liste de pays à visiter, liste de concerts, liste de choses à faire avant de mourir, LISTE DE NOËL. Donc, j'ai aussi fait ma liste de Noël, pour ceux que ça intéresse elle est consultable ICI, sur mon board Pinterest.

Donc si jamais toi, cher petit visiteur inconnu, si tu veux me féliciter pour ce 300ème article et que t'as un peu d'argent en trop, le iPhone 5S ce sera en 32go hein.. Et si mon p'tit Mexicano de Mike passe par ici passe par là, le mégapack Pierce The Veil c'est QUAND TU VEUX JE L'ATTENDS ! 


Merci d'avance à vous tous, vous me comblez déjà par vos visites, c'est la preuve que je raconte peut-être parfois des trucs un peu intéressants ;-)



workhardplayhard.workhardplay.workhard.workhard.workhard.workbitch.

I  a m  e x h a u s t e d  . 


Besoin de parler un peu d'autre chose que de ces jeunes ados rebelles qui délaissent la lecture au profit des séries télé, applications débiles et autres jeux vidéos - grosso modo le sujet de mon fameux mémoire. 
Le feu est de retour dans la cheminée, les gros pulls sont de nouveau de sortie, les écharpes et bonnets aussi... et les décorations de Noël germent de partout (cela dit, on est seulement en novembre encore...). Avec les quelques flocons auxquels on a eu droit cette semaine, je trouve que ça sent déjà bon Noël. J'ai eu droit à mon premier vin chaud dimanche dernier, et le marché de Noël de Strasbourg ouvre ses portes aujourd'hui, ce qui veut dire que la semaine prochaine... :):).



Profitez tous de ces quelques jours/semaines avant Noël pour manger plein de bredeles, de chocolats, boire plein de vin chaud et de jus de pomme épicé ! Le régime, on le retrouvera sur la liste des bonnes résolutions pour 2014 ;-).

jeudi 28 novembre 2013

Happy Thansgiving!


La végétarienne que je suis vous encourage à ne pas vous gaver de dinde gavée en cette période de Thanksgiving. Surtout pas quand la dinde en question a une tête mignonne comme ça. Ce serait un trop gros gâchis. 


Sinon, le 9 décembre je serai enfin libérée d'un sacré poids. Le 13, je passerai une soirée inoubliable. Et le 16 au soir, j'irai me coucher le coeur et l'esprit légers. Au plus tard vendredi 20 décembre, je dirai adieu aux bancs de la fac... en fait ça fait carrément bizarre écrit noir sur blanc. Puis en janvier, ce sera Paris. Et ce sera à moi de faire bouger les choses comme il faut. ON Y CROIT. 


Chanson de la nuit bonne nuit (LA berceuse dont je ne me lasse pas)


jeudi 21 novembre 2013

Undone.

“I know people think suicide is selfish, and maybe sometimes it really is. But what happened to Kai was beyond what anyone should have to cope with. I didn’t blame him, not really. It just broke my heart that I wasn’t enough to keep him here.” 


“It’s amazing, the lies you can tell yourself. 
Even more amazing, the lies you can believe when you’re desperate enough.”  


“I never lost the certainty that he was the perfect boy. The perfect boy for me anyway. 
I just tried not to think about it, because it made me ache inside.” 


“Has this version of me been lurking there all along, somewhere deep below the surface, 
biding its time, waiting for its chance to make an appearance?”  


“Everyone thought that things were getting back to normal. They had no idea that normal didn’t exist for me any more. Normal had been smashed on the rocks beneath the bridge.” 


 These quotes are from the novel Undone, written by Cat Clarke.
Everything reminds me so much of how I feel inside...


Les VRAIES pièces utilisées dans la partie d'échecs sorciers grandeur nature dans Harry Potter à l'Ecole des Sorciers (HP1). #swagg

mardi 19 novembre 2013

Dream out loud.

Tout le monde est sans cesse à la poursuite du grand Amour, tout le monde cherche à se faire aimer et apprécier partout, par tout le monde. A quoi ça sert, augmenter le nombre de vos followers sur Twitter ? Vous donner l'impression d'être quelqu'un de bien ? C'est normal que l'on veuille être aimé, c'est sûr, mais pour ma part j'ai toujours préféré aimer que d'être aimée. Ca peut vous rappeler une chanson - et je ne veux même pas le savoir - mais c'est la vérité. Quand j'aime quelque chose, ou quelqu'un, j'ai l'impression que ma vie trouve un sens, un nouveau souffle, que j'ai une raison d'être. Et peu m'importe d'être aimée en retour : tant que j'aime, je suis heureuse, j'ai de l'espoir, j'ai envie de sauter, de chanter, de danser partout et tout l'temps.
Quant au fait d'être aimée, faut dire que tout dépend de la personne qui t'aime, de la façon qu'elle a de t'aimer. Je trouve ça assez égoïste de chercher à être aimé(e), sans forcément rendre la pareille.

J'avais compris ça il y a bien longtemps déjà. Quand au collège, puis au lycée, on me collait une étiquette parce que je n'entrais pas dans la même case que les autres, c'est vrai que j'en ai souffert, mais je m'en foutais parce que la musique que j'écoutais, les fringues que j'aimais, les amis que j'avais comptaient plus que le simple regard des autres. J'aimais déjà tellement que je me foutais pas mal d'être aimée par des gens qui se permettaient de me porter un jugement sur ma simple apparence. 
Et puis les choses ont changé. J'ai perdu des gens qui m'étaient chers, certains se sont éloignés, d'autres sont partis pour ne jamais revenir. J'ai même du arrêter l'équitation pendant un moment, ce qui m'enlevait une autre source de détente et de plaisir. Me retrouvant seule face aux regards intransigeants des autres, j'avais déjà perdu une partie de cette confiance, une partie de cette joie de vivre. Je compensais tout avec la musique, c'était la seule chose qui ravivait encore la flamme d'espoir qui subsistait en moi. J'aimais la musique, plus que tout au monde, puis j'ai eu cette révélation au début de mes années lycée : ma vraie vocation était de devenir journaliste musical
Ce n'est pas une lubie d'ado, ou un fantasme infondé. C'était juste la combinaison des deux choses qui m'ont aidée quand j'étais au plus bas, des deux choses auxquelles j'ai jamais crues : l'écriture et la musique. Je pourrais dire qu'écrire et écouter de la musique m'ont sauvée, si ça ne faisait pas tellement cliché d'emo dépressif (même si, avouons-le, à une certaine époque de ma vie je faisais indéniablement partie de cette catégorie)

Mais encore une fois, les années se sont écoulées, j'avais perdu une part de moi-même, je commençais à m'éteindre et à devenir un peu comme les autres, parce que leurs regards m'avaient trop blessée. J'avais l'impression que tout foutait le camp, même les groupes que j'admirais tant ont gardé le silence, comme s'ils me boudaient, et je n'avais plus de musique à laquelle me raccrocher quand ça n'allait plus. 
Ne plus aimer inconditionnellement m'a fait perdre une certaine joie de vivre, j'avais l'impression d'incarner un personnage qui n'était pas moi, qui faisait des choses qui ne me ressemblaient pas. Je me suis raccroché à Fils, de toutes mes forces, je savais qu'il était assez fort pour nous deux, puis on me l'a enlevé aussi.
Je n'accordais plus d'importance à l'amour, sous aucune de ses formes, je n'y croyais plus, je ne m'en croyais plus digne. J'ai essayé de me fondre dans la masse, de passer inaperçue pour qu'on ne puisse plus rien me reprocher, qu'on ne puisse plus me juger ni sur mon apparence, ni sur mes goûts. Et je sentais qu'il manquait quelque chose. Que je n'étais plus moi. 

C'est assez récemment que j'ai eu ce nouveau déclic, celui qui me fait sourire aujourd'hui, même si tout n'est pas rose, même si j'ai des tas de trucs à faire, même si malgré moi j'ai peur de ce que l'avenir me réserve. 
Je n'accepte plus qu'on me traite comme une marchandise, comme un objet. Je veux être respectée pour ce que je suis et pour ce(ux) que j'aime. Et surtout, je ne veux plus perdre mon temps à essayer de me fondre dans la masse. Je n'ai qu'une vie, je n'ai droit qu'à une chance, et je vais la saisir. J'ai déjà un pied dedans, mais si je veux vraiment percer dans le milieu du "journalisme musical", j'ai encore du pain sur la planche. Mais c'est ce que je veux faire, et je sais que je le ferai bien parce que ça me passionne, parce que je suis avide de tout savoir, parce qu'on m'a déjà dit que j'étais faite pour ça. 

Ce sera à moi de me démarquer l'année prochaine, de démarcher, de tester, de prouver, de me donner à fond. J'ai déjà commencé, d'ailleurs. Et toi, qui lis ce blog, que tu me connaisses ou non, et peu importe ton âge, il est temps de réaliser que toi aussi, tu n'as qu'une vie pour réaliser tes rêves. Ne laisse pas passer ta chance ; le pire qui puisse t'arriver serait d'avoir une expérience supplémentaire - qui ne pourrait pas être négative, étant donné qu'elle te servirait de leçon de vie. 

Je veux prouver à tous ceux qui m'ont jugée et condamnée, à tous ceux qui m'aiment, à moi-même, mais aussi à tous ceux qui sont partis, je veux leur prouver que je suis une battante, que je ne lâche pas. J'ai déjà trop de regrets et de remords, il est temps d'oser un peu plus. 


 Bryan Stars, mon mentor absolu haha

Alors peu importe que je sois aimée, tant que je fais ce que j'aime, que j'ai des gens que j'aime autour de moi, il n'y a pas de raison que ça aille mal. Je vais me battre pour tout ce - et tous ceux - que j'ai déjà perdus, et même si cela devait me mener dans une impasse, je saurai me relever, me remettre sur les rails. Je n'ai pas besoin que l'on m'aime autant que moi, j'aime. La seule chose que je demande, c'est que l'on me fasse confiance, ou qu'on me laisse tranquille.


mardi 12 novembre 2013

"Le coeur a ses raisons que la raison ignore"

On dit souvent qu'il faut s'ouvrir un maximum de portes, histoire d'avoir le choix le plus large possible. Aujourd'hui, j'aimerais pourtant que l'on m'impose quelque chose. J'aimerais ne pas avoir le choix.

Qu'est-ce que je dois faire ? Suivre ma raison qui m'emmène vers un stage dans une maison d'édition parisienne renommée, avec salaire à la clé ? Ou suivre mon coeur qui me hurle de foncer dans ce pays que j'aime tellement et accepter l'offre de stage, non rémunéré, dans une plus petite maison d'édition à Montréal ? 

Je ne pensais pas avoir à faire un choix de ce niveau là. Et j'ai envie, plus que n'importe quoi, de partir au Canada, de retrouver cette mentalité, ces gens si accueillants, ces paysages, cette vie que j'aimerais découvrir davantage... Mais les missions du stage à Paris répondent elles aussi à tout ce que j'espérais. Alors quoi ? Je fais quoi ?
J'ai envie de partir, et je sais que si je ne pars pas à Montréal en janvier, je partirai quand même l'été prochain. Peut-être que je pourrai encore partir après, peut-être pas. Est-ce que ce n'est pas, genre, ma dernière chance pour partir là-bas ?

J'aimerais que quelqu'un réponde à ces questions, que quelqu'un puisse me dire ce qui est le mieux pour moi, parce que je sais que les deux options me conviendraient très bien. Je veux juste savoir ce qui conviendrait le mieux.




Puis juste, alors que j'me prends la tête à réfléchir et que j'suis un peu perdue, y a un truc qui me redonne le sourire : 


J'donnerais n'importe quoi pour vivre ça en live.
Et Mike, Mike, Mike...

lundi 4 novembre 2013

#Mes20Séries

1. Gossip Girl
2. 90210
3. Once Upon A Time
4. The Vampire Diaries 
5. Game Of Thrones 
6. One Tree Hill 
7. Grey's Anatomy 
8. Dr. House
9. Ghost Whisperer
10. Mentalist
11. Drop Dead Diva
12. Heroes
13. Desperate Housewives
14. Pretty Little Liars 
15. Esprits Criminels
16. Glee
17. Carrie's Diary
18. The Originals
19. How I Met Your Mother
20. Roswell 





Vingt des séries qui m'ont marquée (en bien). En italique, celles qui sont finies. En gras, celles dont j'ai vu t-o-u-s les épisodes diffusés jusqu'à présent. Je n'ai bien sûr pas cité tous les dessins animés, genre Pokémon, La Famille Pirate & cie, mais maintenant que j'y pense ça pourrait faire un chouette article à l'avenir... ;-)


dimanche 3 novembre 2013

L o n d o n .

Et voilà, déjà de retour, des souvenirs plein la tête. Je vais énoncer les grandes lignes de ce -court- séjour avec Charlotte, pour éviter de trop m'étaler comme j'en ai si souvent l'habitude. 

Après une première soirée du côté de Piccadilly's Circus, à errer d'une boîte à l'autre, on finit par aller à deux soirées différentes, au Rumba et au Rise, deux boîtes de nuit. Nuit d'Halloween oblige, on se fraye un chemin dans le métro, les rues et en boîte au milieu d'une horde de zombies, vampires et autres créatures mystérieuses (félins, Prince William, Pokémons, Minions et compagnie). L'ambiance est assez déjantée dès le début de soirée, les gens sont assez... ouverts, on va dire - en tout cas plus qu'en France.

On finit notre nuit aux alentours de quatre heures et demi, notre réveil sonne à six heures.. Ouch. Mais la motivation de notre journée visite/shopping prend le dessus et on se retrouve dans Primark à huit heures tapantes, pour deux heures d'essayage, d'hésitations, de coups de cœur et de dépenses effrénés. On va encore dans l'un ou l'autre magasins, je dois freiner mes ardeurs dépensières (pourquoiiiii? la vie est trop injuste), jusqu'au fameux Drop Dead Store dont je rêve depuis genre, euh... six ans, déjà. Je ressors de là avec seulement un bonnet, me promettant d'y revenir symboliquement à chaque fois que je retournerai à Londres. Parce que oui, j'y retournerai forcément.
Après un passage express pour déposer nos sachets shopping à la chambre, Charlotte et moi on repart direction Buckingham's Palace, puis King's Cross et LA VOIE 9 ¾. Première halte de notre pèlerinage de Potterheads
Ensuite on enchaîne Camden Town (tatouage, pas tatouage..? ;-), Big Ben, Westminster Abbey, London Bridge (sans vraiment le vouloir...) et Tower Bridge. On fait ça vite et bien, on termine même par un dîner dans un resto-pub typiquement anglais que Charlotte me fait découvrir (avec en prime, dégustation d'un cocktail-spécial-de-là-bas). 

Puis hier, samedi, c'était LE GRAND JOUR. Visite matinale des studios Warner "Harry Potter". Je suis incapable de décrire, de définir ça. C'était magique, même si le jeu de mots peut faire cliché certes, mais je ne vois rien d'autre. J'en ai pleuré, à plusieurs reprises au cours de la visite (oui, je suis une fille émotive, surtout quand il s'agit de LA saga littéraire qui a sans doute influencé toute ma vie, jusqu'à mes choix universitaires), j'aurais voulu tout prendre en photo, tout filmer, tout acheter, j'ai gravé chaque.instant.de.la.visite dans ma tête, chaque détail, chaque information que je parvenais à dénicher à droite à gauche. J'étais passionnée, fascinée, absorbée, transportée, bouleversée par tout ce que je pouvais voir, entendre et comprendre.
Alors OUI, ça vaut amplement le coup d'aller aux studios Harry Potter, pour tous les fans de la série, mais aussi pour tous les gens qui ont côtoyé des fans comme moi, s'interrogeant parfois sur la stabilité mentale du Potterhead en question. Cette visite ne prend que trois heures, mais elle peut véritablement bouleverser tout ce que vous vous étiez imaginé jusqu'à présent.

Je ne pourrai jamais expliquer à quel point j'admire J. K. Rowling pour l'univers qu'elle a su faire exister pour toute la communauté de fans, mais aussi de l'engouement qu'elle a suscité chez les adultes, et chez tous les professionnels qui ont mis cœurs et âmes à faire vivre la saga, jusqu'aux plus petits détails.