dimanche 19 août 2012

we could be anywhere in the world.


Je parlais de destin dans mon dernier article, j'croyais pas si bien dire. Vous trouvez pas ça bizarre quand vous pensez passer la soirée avec un mec, avec qui vous avez plus que vos chances de conclure, mais que pour finir vous vous retrouvez face à cet autre, celui qui vous fera de toute façon toujours craquer, & qu'il semble tenir plus à vous que vous ne le pensiez ? Vous devez me prendre pour une folle, mais moi j'ai l'impression que c'était un signe, que je devais savoir que cet autre en question n'était, pour finir, par si indifférent que ça, que je devais encore sentir son regard sur moi pour avoir la preuve qu'il m'accordait cette certaine importance. 


J'ai passé une bonne semaine dans l'ensemble, même si en y réfléchissant j'ai pas fait énormément de choses trop-dingues-de-ouf-méga-inoubliables. Mardi soir c'était cool, la soirée Borsalino + Sexy Dance 4 + Squat à la maison jusqu'à 3h du mat' pour attendre le retour des Majorquains/quois/quiens/fjnhrsdoehgensdeMajorque, avec ma sœur, Tania & Mylène. Puis trois jours à la maison seule avec ma sœur, c'était jamais arrivé (ça va on a survécu, autant elle que moi.. & plutôt très bien j'dois dire). & en plus, mes parents sont rentrés de leur séjour à Paris avec une réserve de macarons Ladurée (pas la peine de venir sonner à la porte, on a déjà tout mangé). Vendredi soir, j'ai appris que le mariage de ma cousine, initialement prévu en grandes pompes en août 2013, qu'on pensait avoir le temps de préparer au courant de l'année avec notre "Crew Mariage", se fera en fait.. le 31 août. 2012. Dans deux semaines. En "petites pompes" certes, mais quand même quoi. & non ce n'est pas une blague. Du coup, méga vague de stress : il nous reste 6 jours pour préparer un enterrement de vie de jeune fille qui déchire (ce sera donc samedi 25, pas l'choix). Sachant que cette semaine, ma dernière semaine de stage, je pars deux jours à Herzogenaurach, au fin fond de l'Allemagne, que j'ai une soirée "retrouvailles" avec un ami québécois à caser &, last but not least, un rapport de stage à boucler/faire relire/imprimer/relier/envoyer. HAHA, j'vais en rire pour pas en pleurer. MAIS j'y crois, dans le pire du pire des cas, j'aurai droit à une nuit blanche au courant de la semaine, & alors, même pas peur. Bon, assez de blabla, mon rapport de stage est ouvert en parallèle, je vais continuer de bosser quand même. En espérant avoir au moins bouclé la rédaction ce soir au plus tard, manquera plus que la mise en page + les annexes. AU BOULOT LAURIE. 

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